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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 07:17

Le hasard grande interrogation de la vie.

Comment cela "fonctionne" t'il et quels mécanismes régissent notre existence.? Sommes nous seulement les acteurs d'une pièce de théâtre imposée?

Son origine le mot"el azar", jeu créé par les Croisées en Palestine.

Aristote parle lui de "tukontos" de "tuke" la fortune.

Une définition particulière "une conscience avec une apparence de finalité mais sans finalité  particulière" ou selon Cournot: la rencontre de plusieurs séries causales indépendantes et solidaires.

Découvrons le champ sémantique et le mots comme coïncidence, destin, fatum, aléa,imprévu, loterie,ou chance.

Il s'agit peut être d'un révélateur de l'angoisse existentielle de la mort du fait que l'être humain vit de façon différente sa vie.

Au déterminisme quant à lui on associe souvent adversité et  malchance .

Selon Laplace ", l'état futur de l'univers  est contenu dans son état présent."

Le déterminisme  serait la conception selon la quelle certaines conditions étant données et connues, les faits  qui s'ensuivraient seraient prévisibles avec précision.

Nous pouvons certes parier sur le hasard, sur notre bonne fortune et sans adhérer nécessairement aux théories déterministes, il est possible de mettre un maximum d'atouts dans son jeu.

Alors, tout est il écrit dans les étoiles?, le hasard en fin de compte ne serait'il que le" sobriquet" de la providence?

*L'être humain qui croit en sa chance a t'il la capacité de transformer l'adversité.

Pourquoi pas?

SOLON.

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C
UNE PREMIÈRE MONDIALE: LE VISAGE DU HASARD, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com)
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P
Igor et Grichka Bogdanov : <br /> Le hasard nous rend libres<br /> <br /> Les étonnants jumeaux férus de découvertes scientifiques se penchent sur l'avant big bang et nous livrent leur conception de dieu et du monde.<br /> Cet article est accessible dans son intégralité uniquement aux abonnés INREES<br /> © Jean-Romain Pac<br /> Des études sur les jumeaux évoquent chez eux un développement accru des capacités intuitives, et même des perceptions extrasensorielles. Cela est-il le cas pour vous ? <br /> Igor : Chez nous, cela se traduit surtout par des phénomènes d’empathie, par le partage de sensations. Je pense que la gémellité, en ce qui nous concerne, c’est finalement la conjugaison de 2 forces, qui sont des forces de perception, des forces d’interprétation du monde, des forces de culture qui tiennent à notre histoire personnelle. La gémellité en elle-même est une façon de côtoyer une expérience du réel qu’on pourrait très rapidement comparer à une sorte de réalité augmentée. Cela permet de faire plus de choses, cela permet d’aller plus loin, plus vite dans des réalisations. Cela permet aussi de préserver une part de plaisir à exercer une action commune sur le monde, qu’on obtient sûrement plus difficilement quand on est avec une personne qu’on connaît moins bien. <br /> Grichka : Le système gémellaire est un système qui n’est pas comparable ni réductible aux autres. D’ailleurs, on s’est très vite sentis différents de ce point de vue-là. Les gens sont au centre d’un cercle et nous, nous sommes dans une ellipse où il y a 2 centres. <br /> Il y a 2 foyers dans notre réalité. En soi, c’est un système paranormal. Le système gémellaire que l’on forme n’est pas un système réductible aux individus dits normaux, c’est-à-dire solitaires. Igor a employé le mot d’empathie ; on a en permanence ces expériences d’empathie, de partage simultané des mêmes informations, sans qu’elles soient acheminées par des chemins classiques du style : je te donne une information écrite sur une feuille de papier ou sur un écran d’ordinateur. Disons qu’on a la chance quand on est jumeaux d’accéder à un écran abstrait sur lequel les mêmes informations sont accessibles pour les deux en même temps. Le professeur Jacquard a dit à notre propos : « Mais c’est extraordinaire, je suis en face de vous deux et finalement j’ai la sensation que ce que l’un apprend, l’autre le sait déjà. » C’est beau. <br /> Igor : Oui, on peut écrire un livre à deux sans qu’on sente même la transition. Grichka écrit de son côté, moi du mien, et ça colle tout de suite, parce qu’on procède en effet des mêmes informations, du même corpus. <br /> <br /> A quoi ressemble votre vision du monde ? <br /> Igor : Nous pensons que le monde physique est naturellement prolongé par le monde métaphysique, que l’un et l’autre sont parties prenantes d’une seule et même réalité. C’est l’aboutissement de notre trajectoire de recherche : nous pensons que l’univers visible, l’univers sensible dans lequel nous vivons, celui qui est accessible à nos sens – une table que l’on peut toucher, une chaise sur laquelle on peut s’asseoir, une voiture que l’on peut conduire – peut se résoudre en quelque chose de beaucoup plus fondamental qui est « l’information ». L’information constitue la réalité profonde, une réalité d’essence mathématique. Elle se situe dans un monde qui n’est pas directement accessible à nos sens mais qui existe avec toute sa force, toute sa puissance. De ce point de vue, on s’approche des convictions de Platon, qui faisait la distinction entre le monde sensible – le monde dans lequel on vit – et le monde des idées. Le monde des idées chez Platon, c’est ce que nous identifions, nous, à l’univers des lois physiques, qui elles-mêmes sont structurées par des informations de type mathématique. On croit à quelque chose qui n’est pas accessible dans notre vie quotidienne mais qui est important et qui fait partie de la réalité. <br /> <br /> Vous utilisez le mot mathématique, est-ce que pour vous ce mot a le même sens que métaphysique, voire spirituel ? <br /> Grichka : Quand on dit mathématique, il faut bien se rendre compte que c’est quelque chose d’éminemment mystérieux, dont la source n’appartient pas aux mathématiciens. C’est très important ça, le mathématicien n’invente jamais rien, il découvre. Si Pythagore n’avait pas découvert le théorème qui porte son nom, d’autres l’auraient découvert à sa place. Parce qu’il existe dans une réalité indépendante. Par exemple, le nombre pi, qui du point de vue des mathématiques est un nombre irrationnel – ou transcendant –, infini, n’est jamais épuisé. <br /> L’univers repose sur des nombres mathématiques, le nombre pi fait partie de ces nombres. Alors la grande question est : d’où viennent ces nombres ? On connaît leurs propriétés mais on ne sait pas d’où ils viennent. Et si on prend tous ces chiffres après la virgule, on peut se poser la question : « Est ce que ces chiffres sont disposés au hasard ou pas ? », bien sûr que non. D’abord, pour une raison très simple : un cercle est un cercle et si on déforme le nombre pi on déforme le cercle, le cercle n’existe plus, ni l’univers non plus. Ensuite, les algorithmes qui calculent des millions de décimales après la virgule montrent qu’elles ne s’organisent pas au hasard. Si le nombre pi n’est pas là par hasard, alors il y a de bonnes chances pour que nous ne soyons pas là par hasard non plus. <br /> <br /> Quel est votre sentiment personnel ? <br /> Grichka : Devant ce nombre, pi, ou l’essence mathématique dont parlait Igor, si on remonte à l’origine de tout cela, c’est-à-dire à l’origine du big bang, le hasard est totalement exclu. Dans nos vies le hasard joue un rôle, mais il joue un rôle qui s’installe à l’intérieur d’une matrice qui elle-même est programmée. Il existe des lois de la probabilité, des lois du hasard, ce n’est pas pour rien qu’il y a des mathématiques qui encadrent l’aléatoire. Mais, en réalité, la liberté elle-même est programmée. Nous avons le privilège de choisir, cependant les mathématiques nous montrent que si l’univers est unique, alors sa naissance, son arrivée explosive qu’on appelle le big bang, est un vrai miracle. <br /> <br /> C’est un mot à connotation religieuse. <br /> Igor : Il est employé par les scientifiques. Einstein, à qui un enfant demande s’il croit en Dieu, répond : « Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science finiront pas découvrir qu’un esprit se manifeste dans les lois de l’univers, un esprit immensément supérieur à celui de l’homme. » Il n’est pas le seul. Mais ce « dieu » n’est pas le dieu des religions. C’est le dieu de Spinoza, c’est le dieu des philosophes, des scientifiques. Nous partageons cette idée : on voit cette transcendance comme la verrait un philosophe ou un scientifique. Quand Grichka dit qu’il n’y a pas de hasard à l’échelle cosmologique, il suffit de parcourir un peu la littérature pour constater que nombre de scientifiques pensent exactement la même chose. Quand on regarde l’histoire cosmologique qui a mené jusqu’à l’homme et qu’on la projette vers le lointain passé du big bang, on voit que toute la chaîne causale des événements qui permettent à l’homme d’émerger est vertigineusement précise. Et que le hasard n’existe donc pas. <br /> <br /> À quoi ressemble votre dieu ? <br /> Igor : Je serais tenté de répondre comme Jean Guiton qui disait, finalement, que Dieu est l’être sans ressemblance. On peut essayer de trouver des métaphores qui permettent de créer des silhouettes, mais la meilleure approximation qu’on pourrait donner de Lui c’est le mystère vertigineux des mathématiques et des lois sous-jacentes à l’univers. <br /> Grichka : Dieu c’est le contraire de tout ce que l’on peut imaginer. Le mathématicien de génie qu’était Kurt Gödel a permis d’éclairer, grâce à son célèbre théorème, le caractère très mystérieux de la transcendance suprême qu’est Dieu. La transcendance au sens vraiment élémentaire de ce mot : ce qui nous échappe totalement. Le théorème de Gödel est publié en 1931 et il ne cesse aujourd’hui d’éblouir les mathématiciens. Il nous dit que tout système logique est nécessairement incomplet, cela veut dire que sa cause se trouve à l’extérieur de lui. Prenons l’univers tout entier : si l’on admet qu’il constitue un système logique – sans quoi évidemment nous n’existerions pas – le théorème de Gödel s’applique. Or, selon le théorème de Gödel, on est obligé d’en conclure que ce système est incomplet – donc que l’univers est incomplet. Et ce théorème va plus loin, il dit que la cause qui a engendré tout système logique est nécessairement d’une nature différente de lui. L’univers est matériel, temporel, et contient de l’énergie. Si la cause de l’univers est différente, ça veut dire que la cause de l’univers est immatérielle, atemporelle, non locale et que ce n’est pas de l’énergie. C’est de « l’information ». <br /> L’espace-temps commence à l’instant de Planck, donc au moment du big bang. Mais avant le big bang, il faut bien se poser la question de ce qui existait. Parce que si on ne se pose pas cette question, alors on refuse de se poser la question de savoir d’où vient cette énergie colossale qui se déverse dans le vide au moment du big bang, à l’instant de Planck, 10-43 secondes après l’instant zéro. Cette énergie colossale, d’où vient-elle ? Et comment se fait-il qu’elle soit si bien structurée ? Si on ne se pose pas cette question-là, la science n’a plus de sens. Le stade singulier de cet univers concentre à l’instant zéro toute l’information qui va permettre ensuite à l’univers non seulement d’apparaître au moment du big bang, mais ensuite de se développer tel qu’il se développe aujourd’hui. Cette singularité initiale correspond pour Igor et moi un peu à ce qu’est le code génétique pour un être vivant. Un être vivant, quel qu’il soit, est précédé par cette inscription. L’univers aussi. Il y a un précédent à la matière. <br /> Igor : Il faut bien comprendre qu’à chaque phénomène matériel que nous observons à notre échelle correspond une loi, donc une écriture, donc une information. Il n’y a pas de réalité sans support informationnel. C’est ça qui est fascinant. Et l’on se dit que la source de l’information n’est pas ici. <br /> <br /> Peut-on dire alors que « tout est écrit » ? Car si l’on constate que l’univers est gouverné par des lois cohérentes, logiques, qu’en est-il de l’entité individuelle ? Que faites-vous de la notion de libre arbitre ? <br /> Igor : Nous pensons que la réalité dans laquelle nous vivons procède bien entendu des contraintes de toutes ces lois mais, en même temps, elles permettent l’émergence du libre arbitre. Si on revient à cette idée que le monde est programmé par des lois sous-jacentes fondamentales, cela ne veut pas dire que ces lois n’intègrent pas la possibilité de choisir. <br /> Et si l’on utilise une métaphore très simple, prenez n’importe quel jeu vidéo, on voit bien que le programmateur a fait en sorte d’introduire des capacités de choix, ce qu’on appelle des degrés de liberté. Si on prend un jeu très simple, une course où on doit aller du point de départ vers le point d’arrivée le plus vite possible, on a la possibilité de choisir. On peut passer par la porte A ou la porte B, ou encore par le tunnel, il y a plein de possibilités de choix dans le jeu qui nous permettent d’exercer notre libre arbitre. Mais la conclusion finale, c’est qu’on va franchir la ligne d’arrivée. C’est un peu la même chose dans nos vies, à notre échelle, on a la possibilité de choisir, mais le choix auquel nous procédons en toute liberté est lui-même encadré par quelque chose de beaucoup plus vaste, qui nous échappe complètement. <br /> Grichka : La liberté est authentique. On pourrait dire que le hasard existe, mais qu’il n’existe pas par hasard. Le hasard est nécessaire à l’expression de la liberté. Si le hasard n’était pas encadré dans son expression, il déboucherait sur le chaos et l’univers n’existerait pas. <br /> <br /> Restons dans l’univers : envisagez-vous l’existence d’autres formes de vie ? <br /> Igor : La vie est un phénomène inévitable. La recette est simple : il faut une source d’énergie, donc un soleil, il faut une planète à une certaine distance, il faut de l’eau et la vie apparaît. Elle a pu apparaître sur d’innombrables sites et elle a pu s’y développer. Je pense qu’on en aura la preuve dans les 10-15 ans qui viennent. <br /> <br /> Est-ce que la vie, la conscience, sont nécessairement attachées à la matière et à un corps physique ? <br /> Grichka : Bien sûr que non. Igor et moi pensons que, de même qu’il existe une équivalence entre l’énergie et la matière, il existe une équivalence de nature similaire entre l’énergie et l’information. Cette équivalence, cette dualité plutôt, nous fait comprendre que l’information qui est à la source de la manifestation matérielle de l’univers est totalement indépendante du support dans lequel on peut la retrouver. C’est-à-dire qu’elle va se retrouver dans des corps matériels – et en définitive elle suscite l’existence de ces corps matériels – mais elle est indépendante de ces corps. Elle ne vit pas dans le temps réel. <br /> <br /> Avez-vous peur de la mort ? <br /> Grichka : La réalité de la conscience ne se limite pas au support matériel. Le temps qui est le temps de la matière n’est pas le temps de l’information dont on parlait tout à l’heure, donc le temps de l’esprit, si on peut dire. Je n’aime pas trop ce mot parce qu’il est tellement trompeur. Mais en tout cas, le temps de l’information n’est pas le temps de la matière. Et le temps de la matière est limité, c’est certain, mais le temps de l’information ne l’est pas, et l’information ne se réduisant pas à la matière, la mort ne peut pas avoir, en quelque sorte, raison d’elle. C’est tout, c’est aussi simple que ça. <br /> Igor : En fait, c’est une transition de phases. On passe d’un monde qui est gouverné par de l’énergie, par de la durée, par le temps réel, vers un monde qui est le monde auquel on appartient réellement. Puisque le monde dans lequel nous sommes, là, n’est qu’une projection de ce qui se passe dans la réalité profonde. <br /> Grichka : En fait, on vit dans un espace projectif. Ce n’est qu’une illusion, bien entretenue. C’est quelque chose que nous ressentons profondément. <br /> <br /> On est immortels, alors, d’une certaine manière ? <br /> Grichka : D’une certaine façon... Non, l’immortalité, ce serait... La mortalité est une illusion, donc l’immortalité est une réalité. On peut accéder à un retournement de la proposition. Quand Platon dit que le temps est l’image mobile de l’éternité immobile, il dit d’une autre façon la même chose. Quand il dit qu’il y a une caverne sur le fond de laquelle sont projetées les choses, il parle de projection de la même façon. On retrouve cette idée d’un espace projectif. Et quand on dit que les mathématiques sont éternelles, <br /> ça donne cette idée de la non-soumission au temps.<br /> Le Mystère du Satellite Planck, Bogdanov Igor, Bogdanov Grichka<br /> Editions Eyrolles (Juin 2013 ; 216 pages)
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P
La vie est-elle une suite de hasards ?<br /> Si le hasard mène la danse, s’il distribue les cartes de la naissance, de l’amour, des rencontres et des carrières, alors notre volonté ne compte pour rien, et notre liberté est réduite à néant. La vie n’a aucun sens. Mais si, à l’inverse, nul hasard ne préside à notre existence, si tout est déjà programmé à l’avance, alors, une fois encore, rien ne sert de vouloir, la liberté n’existe pas. Comment sortir d’une telle impasse ? D’abord en interrogeant les mille et une facettes du hasard vu par les philosophes, de l’accident créateur défendu par Lucrèce à l’erreur de la volonté diagnostiquée par Descartes. Ensuite, en examinant avec le thérapeute François Roustang à quoi pourrait ressembler une paradoxale éthique de l’opportunité. En organisant aussi un débat entre le philosophe Baptiste Morizot et le sociologue Michel Bozon, sur la place réelle de l’aléatoire dans nos histoires d’amour. Ou, pourquoi pas, en tentant l’expérience d’un voyage dont chaque étape se jouerait sur un coup de dés. Histoire de mettre au jour, loin des alternatives grossières, l’exigeant sens de la nuance que commande le phénomène hasard. Et ainsi, apprendre à accueillir ce qui vient.
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C
Blog(fermaton.over-blog.com),No-19. - THÉORÈME SPINOZA. - Einstein et le déterministe absolu.
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A
Le hasard existe et détermine nos existences. La vie est effectivement absurde et la volonté est une illusion puisque tout est régi par les lois du hasard. What else ?
C
Blog(fermaton.over-blog.com),No-19. - THÉORÈME SPINOZA. - Einstein et le déterministe absolu.
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