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23 octobre 2015 5 23 /10 /octobre /2015 17:47

L'homme trouve sa noblesse dans la conscience de sa condition imminente,immuable et non négociable.

Cette conscience autorise -t-elle un choix?

Certainement dans la mesure ou l'homme est responsable de son choix et fait preuve de courage extrême à courir à la mort qu'il redoute compte tenu de son caractère d'irréversibilité.

Sartre d'ajouter:la pensée de la mort est angoisse et par définition intenable..

D'où vient que l'on refuse souvent à l'homme le droit de mourir et d'attendre une mort à la hauteur de sa qualité de vie.?

Problème de législation ou d'interdits religieux.?

Passer outre est -ce contrevenir à une loi naturelle ou une quelconque autre loi particulière?

Parlant du suicide, acte personnel et radical par excellence, considéré par la sociologie comme un déficit d'intégration est--ce uniquement quand la vie n'a plus de sens que l'on décide de mourir?

L'on peut parler de la martyrologie et de l'histoire de ces nombreux héros qui de façon lucide ont affronté dignement la mort soit pour idéaux politiques ou religieux, mais en tout état de cause actes réfléchis et qui méritent le respect.

Chacun sait ce qu'il veut pour lui-même, et tout jugement de tiers en la matière ne peut être que subjectif.

Le droit de mourir constitue un droit fondamental de l'homme, inaliénable, et éminemment respectable.

Solon

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Mourir chez soi, une demande mal entendue<br /> <br /> Maud Navarre<br /> Mis à jour le 06/11/2015<br /> <br /> <br /> Consultez le sommaire du magazine Liberté : jusqu'où sommes-nous libres ?<br /> >> Consulter le sommaire<br /> Mensuel N° 275 - novembre 2015<br /> Liberté : jusqu'où sommes-nous libres ? - 5€50<br /> Je commande <br /> le magazine - 5€50<br /> Je télécharge <br /> le magazine (PDF) - 5 €<br /> Une étude de l’Ined montre que la plupart des Français désirent mourir à domicile, mais qu’un quart seulement y décèdent effectivement. Terminer sa vie chez soi reste rare en France, comme au Royaume-Uni, en Norvège ou aux États-Unis. Pourquoi ?<br /> Première explication, l’hospitalisation demeure le réflexe le plus fréquent. Toutes les situations médicales ne permettent pas le maintien à domicile. Par exemple, les personnes atteintes de maladies infectieuses ou respiratoires sont plus souvent hospitalisées que celles souffrant de problèmes cardiaques. Mais globalement, dès que la santé se dégrade, le transfert à l’hôpital est préconisé. Rares sont ceux qui retournent passer leurs derniers jours au domicile. Par ailleurs, seulement 2 % des enquêtés ont rédigé des directives précisant leurs ultimes volontés. Conséquence, ils ne peuvent pas toujours faire entendre leur souhait de mourir chez eux.<br /> Or, la fin de vie à domicile ne se déroule pas comme à l’hôpital. À domicile, les soins curatifs, pour traiter la maladie, sont moins répandus. On dispense principalement des soins de confort, davantage limités qu’à l’hôpital. Par exemple, accéder à un soutien psychologique est plus difficile. Le maintien à domicile préserve cependant les relations sociales : dans 72 % des cas, les proches sont présents lors des derniers instants, alors que plus d’un décès sur deux à l’hôpital s’opère sans eux. En revanche, mourir sans aucun témoin est plus fréquent à domicile (21 % contre 7 % à l’hôpital). Les chercheurs de l’Ined recommandent de développer la formation des soignants et les alternatives à l’hospitalisation pour mieux respecter les souhaits des mourants.<br /> <br /> Sophie Pennec et al., « Mourir chez soi : un souhait majoritaire mais une situation peu fréquente », Population et Sociétés, n° 524, juillet-août 2015.<br /> Mots-clés :<br /> mort hôpital société<br /> Partager :<br /> COMMENTAIRES<br /> <br /> commentaires Il y a actuellement 1 commentaire, réagissez à cet article<br /> <br /> bonne mort<br /> Yacouba Halidou - le 09/11/2015<br /> Mourir chez soi est perçu dans l'univers culturel sonray comme une bonne mort. Mourir bellement c'est mourir entre les mains des membres de sa famille. ceux sont seuls sensés ne pas dévoiler certaines situations qui adviennent pendant la mort. Ils sont seuls à pouvoir garder le secret en cas de situations désagréables. <br /> NB Les Sonrays sont un peuple réparti entre le Mali et le Niger. Ils ont crée le grand Empire d'"Afrique noire au 15ème siècle. Leur chef c'est-à dire Empéreur s'appelle Sonni Ali Ber. La défaite de cet Empire est survenu en 1492 à Tondi Bi face à l'armée marocaine qui a pu profiter de la technologie européenne( boeufs contre mousquées)
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P
Mon corps m'appartient-il ?<br /> Rencontre avec Irène Théry<br /> <br /> Propos recueillis par Nicolas Journet<br /> Mis à jour le 18/11/2015<br /> <br /> commentaires 1 commentaire<br /> Envoyer à un amiVersion imprimableAjouter cet article à mon classeurAugmenter la taille de la policeDiminuer la taille de la police<br /> Article issu du numéro <br /> Consultez le sommaire du magazine Liberté : jusqu'où sommes-nous libres ?<br /> >> Consulter le sommaire<br /> Mensuel N° 275 - novembre 2015<br /> Liberté : jusqu'où sommes-nous libres ? - 5€50<br /> Je commande <br /> le magazine - 5€50<br /> Je télécharge <br /> le magazine (PDF) - 5 €<br /> En France, l’avortement est libre, la gestation pour autrui strictement interdite : comment départager les bons et les mauvais usages du corps ?<br /> Dans les années 1970, certaines femmes avaient adopté un slogan. Ce slogan disait : « Mon corps m’appartient. » Elles revendiquaient l’accès à la contraception et à l’avortement, et l’ont obtenu. Mais il y a bien des cas où ce slogan se heurte aux limites que la loi ou la morale lui opposent : on pénalise la prostitution, on interdit la gestation pour autrui, on interdit la vente d’organes, etc.<br /> <br /> Le principe de « l’indisponibilité du corps humain » affirme que notre corps ne peut pas faire l’objet d’un contrat ou d’une convention. Êtes-vous d’accord avec cela ?<br /> Ce principe veut défendre une valeur universelle et intemporelle qui paraît peu contestable. Pourtant, il peut être utilisé parfois pour justifier une règle dont on s’aperçoit en creusant un peu qu’elle n’a rien d’universel. Prenons l’interdit de la gestation pour autrui (GPA), qui est absolu en France : on sait pourtant qu’elle est autorisée dans une vingtaine de pays, dont de grandes démocraties. On invoque chez nous « l’indisponibilité du corps humain », ce qui a pour effet immédiat d’assimiler la GPA à une « location d’utérus ». Cette image suscite l’horreur, on pense à des formes modernes d’esclavage, à la réification des femmes, etc. Mais quel rapport tout cela a-t-il avec la réalité concrète de la GPA telle qu’elle existe dans le monde ? Pour moi, le vrai et grave problème, c’est qu’en France, on s’obstine à mélanger des situations radicalement opposées. Des cas d’instrumentalisation du corps des femmes pauvres, qui existent indéniablement et qu’il faut combattre mieux qu’on le fait, et puis des situations où il n’y a aucune forme d’instrumentalisation des femmes, et que l’on nomme les « GPA éthiques ». La vraie question sur le plan humain, sur le plan des valeurs et du droit, c’est de départager les deux. Et là, le principe d’indisponibilité du corps humain ne nous sert à rien… Au contraire, il crée l’amalgame.<br /> <br /> Donc, peut-on consentir librement à prêter son ventre ?<br /> Pourquoi dites-vous « prêter son ventre » ? Quand on rencontre des gestatrices américaines ou canadiennes, on voit bien qu’elles n’ont ni « loué leur ventre » ni « abandonné leur enfant ». Elles ne sont pas poussées par le besoin. Elles considèrent que porter l’enfant d’autrui peut être un acte humain très fort, très précieux, d’une immense valeur. Tout dépend de la façon dont c’est fait, et des relations qui se tissent entre la gestatrice et les futurs parents, que ce soit des proches ou des gens qu’elle ne connaissait pas, mais qu’elle a choisis… et qui deviennent peu à peu des proches.<br /> <br /> Il est important qu’il n’y ait pas de lien biologique entre la « mère porteuse » et l’enfant ?<br /> Dans l’immense majorité des cas, aujourd’hui, les femmes ne portent pas leur propre enfant : loin d’avoir le sentiment d’abandonner, elles disent qu’elles « rendent » cet enfant à ses parents, qui le lui avaient confié encore à l’état d’embryon. Ainsi, la fécondation in vitro, en rendant possible la division de la maternité en deux (une maternité génétique, une maternité gestationnelle), a permis d’éviter les dilemmes qui ont suscité autrefois des drames. L’important est que l’acte de porter pour autrui ait un sens, qu’il soit un acte profondément humain. À quelles conditions cet acte est-il légitime, conforme aux valeurs de respect et de liberté de la personne ? Ce ne sont pas les grands principes « d’indisponibilité » ou de « dignité » qui peuvent le dire. Il faut partir des situations vécues, et réfléchir selon une vision pragmatique qui s’attache aux vrais enjeux, aux vrais problèmes. Par exemple, que fera-t-on si l’enfant est anormal et qu’une interruption de grossesse doit être envisagée ? Ou plus positivement : comment la gestatrice va-t-elle introniser peu à peu les parents au cours de la grossesse ? Quels sont les devoirs concrets des parents envers la gestatrice ? De telles questions doivent être posées en amont. C’est ce que l’on fait dans les GPA éthiques.<br /> <br /> La contraception et l’avortement étaient porteurs de valeurs aujourd’hui inattaquables : l’autonomie des femmes, l’égalité entre les sexes. N’est-ce pas cela qui manque à la GPA ?<br /> C’est vrai que la GPA n’a, a priori, pas ce rôle d’accroître la maîtrise physique de son propre corps. Mais à mon sens, on peut lui reconnaître une réelle valeur émancipatrice. Elle permet à des femmes d’avoir des enfants qu’elles n’auraient pas pu porter. Elle offre la même possibilité à des couples d’hommes, et les gays savent que c’est ainsi (l’adoption étant devenue presque impossible) qu’ils peuvent devenir des pères. Enfin et surtout, si elle est éthique, la GPA peut être une expérience humaine exceptionnelle pour la gestatrice elle-même. L’une d’elles m’a dit : « À part mes propres enfants, rien ne m’a autant valorisée dans ma vie. » Il faut savoir se laisser troubler dans ses certitudes par une phrase comme celle-ci…<br /> <br /> Est-ce que les campagnes contre la GPA ne ressemblent pas un peu à celles qui demandent l’abolition de la prostitution ?<br /> Beaucoup des adversaires de la GPA n’hésitent pas à la définir comme une forme de prostitution. Pour eux, le problème est le même. À ce compte-là, on pourrait aussi bien dire que le trafic d’enfants et l’adoption internationale, c’est la même chose, parce qu’il y a des riches qui « achètent » les enfants de « pauvres ». Il y a des gens en France qui pensent cela, et qui militent pour l’abolition universelle de la GPA. Mais une tout autre approche est possible. On sait qu’un progrès capital a été fait, avec la Convention de La Haye (1993) sur l’adoption internationale, justement pour lutter contre les trafics d’enfants et organiser une adoption irréprochable, et même hautement morale. C’est pourquoi nous sommes aujourd’hui face à une alternative très simple en matière de GPA : ou bien l’abolition universelle, comme le demande, par exemple, la Manif pour tous qui en a fait l’un de ses grands mots d’ordre pour l’avenir, ou bien la régulation internationale, comme le propose la Convention de La Haye qui a commencé à travailler dans ce sens en respectant les pays démocratiques qui ont fait le choix de légaliser la GPA.<br /> <br /> Il n’y aurait donc pas de grands principes qui permettraient de nous faire une opinion sur ce que nous sommes libres de faire de notre corps ?<br /> Bien sûr que si, il y en a, mais ce ne sont pas ceux que vous avez cités. Puisque nous parlons de la liberté et des usages du corps, je dirai ceci : la GPA, et plus largement l’engendrement avec tiers donneur, ont la particularité de supposer des relations entre les individus. Il y a des donateurs et des donataires et une relation de don très particulière qui se crée entre les parents d’intention et celui ou celle qui donne sa capacité procréatrice pour leur permettre d’avoir un enfant. Que fait-on de ces relations ? Ne devraient-elles pas être au centre de la réflexion éthique et juridique ? Les droits de l’homme désignent un sujet isolé, et sur le plan du droit, c’est fondamental. Mais en tant que sociologue, j’observe la vie sociale concrète, et je suis toujours confrontée à des interactions, à des relations humaines.<br /> Pour moi, le débat éthique sur la GPA suppose de se demander : « Est-ce que cela peut faire sens pour une femme de porter un enfant pour autrui ? » Tant que l’on refusera de se poser cette question en France, non seulement on n’avancera pas sur le plan du débat éthique de fond, mais on se privera des moyens vraiment efficaces de combattre les cas où la GPA ne fait pas sens ni valeur pour la femme, ces cas où elle est purement et simplement instrumentalisée, que nous condamnons tous.<br /> Irène Théry<br /> Sociologue de la famille, auteure, entre autres, de Des humains comme les autres. Bioéthique, anonymat et genre du don, Ehess, 2010.
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A
Aujourd'hui les choses ont changé , les esprits aussi ... même la mort a changé . <br /> Les questions ne se posent pas tout à fait de la même manière qu'avant , dans des siècles précédents .<br /> Les hommes ne sont plus tenus dans l'ignorance , ni la médecine et les croyances aveugles ou religieuses perdent de la valeur .<br /> La mort qui était au fond naturelle , porteuse de terreur parfois par sa force aveugle , à d'autres époques car côtoyée très souvent par chacun autant chez les humains que chez les animaux , aujourd'hui est moins visible dans nos pays .<br /> D'une part elle est refusée , il est presque indécent d'en parler , comme si cela portait malheur , le moindre accident avec quelques morts et les ministres se précipitent , le président fait un discours , les excuses sont prêtes , des enquêtes se multiplient , des procès sont ouverts . Les lois pleuvent contre les accidents . il faut se prémunir , se protéger : on porte des casques , des ceintures , des gilets jaunes , etc .., des équipes de secours , des urgences , sont prêtes . Tout est fait pour faciliter la vie . Ca a toujours été une course à la vie chez l'homme , chez les animaux , dans la nature , faire reculer la mort .<br /> Mais la mort est là , elle existe , elle n'abandonne pas le combat , elle guette chacun .<br /> D'autre part la mort est-elle acceptée ?<br /> Aujourd'hui nous connaissons beaucoup de causes à la mort , nous l'avons étudiée , nous pouvons la combattre , la regarder en face , la soumettre en partie , la retarder aussi . Mais sans gagner à la fin .<br /> Cette fin est reculée c'est tout . <br /> Mais des rêves sourdent d'immortalité . Un rêve ...il s'agit d'une immortalité de jeunesse , garder toutes ses capacités : on aura toujours 20 ans , mais pas de vieillesse perclus de douleurs . <br /> Il arrive même qu'à force de combattre la mort , on atteint un point extrême où ne gagne ni la vie , ni la mort ... et ça peut durer des années .<br /> Peut-on choisir notre vie et notre mort ?<br /> C'est une question sociétale importante . Car : qu'est-ce que l'homme ? Pourquoi ? Comment ? Pour qui ?<br /> C'est la question essentielle : pour qui l'homme vit-il ? Et non plus pourquoi .<br /> Vit-il pour lui-même ? Alors il est libre de ses choix de vie ou de mort quand il le veut .<br /> Son entourage peut en pâtir , en être triste , mais il est libre .<br /> Parfois traverse-t-il un moment de faiblesse , qu'il pourrait regretter .. encore qu'un fois mort il ne regrettera rien . Mais son entourage regrettera pour lui .<br /> En fait ce sont les vivants qui décident du sort des autres et posent des interdits .<br /> En partie les familles , l'entourage , qui n'acceptent pas de perdre un être cher , cette tristesse , cette injustice .<br /> Mais surtout la société .<br /> Car l'homme est un être social .<br /> Alors il "doit" jouer un rôle , en particulier travailler pour les autres . Et ce parfois dans des conditions atroces qui pourraient prêter au suicide , donc la suicide n'est pas admis . <br /> Sommes-nous vraiment libres de nos vies ?<br /> Sommes-nous vraiment libres de nos choix ?<br /> Pouvons-nous assez nous construire comme êtres libres ? <br /> Dans les sociétés précédentes , comment se construisait la vie ? Quelles en étaient les astreintes réelles ? Dans d'autres sociétés dans le monde nous pouvons étudier les rapports des humains entre eux , avec la nature .<br /> Mais dans notre société comment cela se passe-t-il aujourd'hui ?<br /> Nous sommes entrainés dans un tourbillon de vie , de travail , de consommation , de jeux ... loin de la nature , et nous avons du temps pour nous . Nous prenons conscience de ce temps de loisirs personnels .<br /> Quellle place occupe le travail ? Le non-travail ? la famille ? les amis ? la société pour chacun .<br /> C'est en cela que nous nous sentons libres de nous-mêmes .<br /> Est-ce que tous nous avons cette liberté ? Comment les sociétés nous formatent-elles pour nous empêcher d'être libres et décider de nos vies ? Quelles pressions subissons-nous ?<br /> Et en définitive , pouvons nous mourir librement et surtout dignement ?<br /> La dernière loi Antonetti votée nous apprend que la médecine ne s'acharnera plus à nous prolonger en cas de fin de vie .. si le médecin et la famille sont d'accord .. mais interdit à l'humain ce qu'il autorise à l'animal , c'est-à-dire une piqure pour abréger ses souffrances , il le laisse mourir naturellement sans lui donner à manger et à boire . Ce qui est tout de même atroce .<br /> Alors , nous pouvons espérer pouvoir améliorer nos vies , nos douleurs , nos morts , pouvoir être plus libres de nos choix , ceux-ci acceptés par la société et les êtres qui nous entourent . <br /> Nul ne devrait pouvoir choisir à notre place ... quand la mort ne nous frappe pas d'elle-même sans prévenir la mutine !
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  • : ce blog rend compte de toutes les réflexions philosophiques recueillies à l'occasion des débats à thèmes à Pézenas (34)
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